Friends, booze, love. (Myron)

» Pseudo: Sam. » Âge: 23 ans. » Comment as-tu trouvé AA ? PRD. » DC: le plus grand dragueur de l'école aka Tibou. » mot de la fin: Je vous aime

Naïf. C’est surement l’un des premiers adjectifs qui vient à l’esprit lorsqu’on parle de Myron Wagtail. Au premier abord, il semble être quelqu’un de gentil, mais naïf, le genre de personne qui veut voir le bien, qui veut se battre pour ce qui est juste, et qui croit en la bonté. Il est mignon et gentil, et pourtant se révèle beaucoup plus manipulateur qu’il en a l’air. Imprévisible, il balance entre l’étudiant naïf, et l’homme au sang froid qui a la tête sur les épaules quand il le faut. De ce fait, il n’est surement pas aussi facile à avoir qu’il ne le laisse penser.
Courage et Loyauté. Envoyé chez les Gryffondor lors de sa répartition, premier gage de courage. Myron ne recule pas devant la difficulté, ni devant le danger. Si sa bravoure pourrait parfois se méprendre avec de la stupidité, n’en reste pas moins une envie de se battre pour ses idéaux, pour la cause en laquelle il croit. D’une loyauté sans pareille, ceux qui peuvent se compter dans son cercle d’amis pourront toujours compter sur lui, dans les bons, comme dans les plus terribles moments, il répondra présent.

Background familial. Si l’on dit souvent que l’amour est plus fort que tout, ce ne fut pas le cas ici. Ou du moins en apparence. Un amour de jeunesse passionnel, l’impression d’avoir trouvé l’âme sœur, ce fut le sentiment partagé d’une jeune femme et d’un jeune homme lors de leur première rencontre. La jeune femme tomba rapidement enceinte, après seulement quelques mois de relation. Mais après tout pourquoi attendre lorsque l’on sait être tombé sur la perle rare. Malgré cette vie idyllique, le père de Myron ne semblait pas trouver une certaine paix intérieure dans cette nouvelle vie de famille. Il abandonna femme et enfant en bas-âge quelques mois plus tard. Il partit sans explications et disparu sans laisser de traces.

Un père inconnu, une mère célibataire, et un enfant âgé d’à peine un an. Si la disparition de son mari fut un terrible choc pour cette jeune maman, elle retrouva pourtant l’amour une année après en la personne de Nicholas Wagtail. Homme dont elle tomba éperdument amoureuse et qui accepta Myron comme son propre fils, jusqu’au point de lui donner son nom de famille. Le petit garçon fut donc élever dans un monde de moldu. Il grandit dans un petit village au sud de l’Angleterre, près de la ville de Brighton. Premier né, il ne fut pourtant pas le dernier, puisque sa maman et son beau-père eurent par la suite trois petites filles et deux petits garçons. Gamin, il aimait inventer des histoires, les réinventer, les raconter, et surtout les dessiner. Des dragons, des fées, des courageux soldats qui semblaient prendre vie au bout de ses crayons de couleurs. Une enfance douce et heureuse diluée dans des rires, des biscuits un peu trop cuit, des moments privilégiés avec sa grande famille, dans des contes fascinants narrés par sa maman, et un papa qui n’était pas vraiment le sien. Déjà emprunt de cette chaleur qui serait toujours sienne, il courrait, il jouait, il riait. Des bêtises, il en faisait déjà, souvent même, mais il savait se faire pardonner. Cette période heureuse, il s’en souvient encore, et ça le fait sourire parfois. Il se souvient du visage de sa famille, de leur amour, et surtout du visage de ses parents quand un soir d’hiver, dans sa septième année, les petits monstres qu’il avait dessiné sur la porte d’entrée s’étaient mis à bouger et à faire des grimaces à sa maman qui le grondait. Il se souvenait des soirées au coin du feu, des aventures avec tous les copains du village, sa jolie maitresse de l’école, les cauchemars qui s’enfuyaient dés que le visage de sa maman apparaissait au coin de la porte, la chanson qu’on lui chantait chaque soir avant de le border dans son lit, et puis du jour où tout à changé. Une lettre. Sorcier.

Dans le monde sorcier, il parait que les lettres d’acceptation pour l’école de sorcellerie Poudlard sont envoyées par hibou. Dans le cas de Myron, il eut un jour, la chance, de recevoir Minerva McGonagall dans son salon. Né-moldu, Myron et sa famille n’avaient évidemment aucune connaissance de l’existence d’un monde magique (malgré quelques bizarreries de la part de l’ainé de la famille). Cette femme impressionnante révéla donc aux Wagtail l’existence d’une société magique, et rassura les parents par rapport au départ prochain de leur progéniture pour Poudlard. Une surprise, un choc, et une révélation : Myron est un sorcier.

Préparation et Première année. Nouveau monde et nouvelle vie pour un enfant qui ignorait tout du monde magique. Le chemin de traverse fut sans doute l’une des expériences les plus étranges qu’il n’eut jamais eu de vivre du haut de ses onze ans. De nombreux magasins, une rue qui goupillaient de personnes aux vêtements étranges et colorés, et un sentiment de rêve inaccessible rythmaient les rues. Si tout était nouveau pour l’enfant, il en était de même pour ses parents. Fleury & Bott, Madame Guipire, Ollivanders, des noms que l’enfant essayait de graver dans sa mémoire au fur et à mesure de cette promenade. Lors de l’annonce de son statut de sorcier, on avait expliqué à sa maman comment utiliser l’argent dit ‘sorcier’, pour autant ce fut tout de même une bonne dose de rire lorsqu’il fut payer après chaque achats dans les nombreux magasins. Le choix de la baguette magique fut le moment le plus incroyable. Rentrer dans une boutique poussiéreuse et sombre, voir un vieillard vous scanner de haut en bas, et prendre vos mesures, rien de plus étrange pour un petit garçon. Mais il ne se rendait pas encore compte à quel point être le propriétaire d’une baguette magique pouvait être cool. Bois d’aulnes, vingt-et-un centimètres quinze, ventricule de dragon. Baguette, chaudron, bouquin, d’un coup de crayon, le petit Myron rayait les achats sur sa liste au fur et à mesure, jusqu’à qu’il ne reste plus que les robes de sorciers à aller acheter. Chez Madame Guipure donc. Le garçon, suivi de ses parents pénétra dans l’établissement. Après une bonne discussion avec la vendeuse, il fut décidé que sa mère et son beau-père se rendrait à la banque Gringotts pour ouvrir un compte bancaire à leur fils, le temps qu’on lui fasse ses robes. Petit Myron fut donc abandonné dans cette petite boutique. La dame le fit installé debout sur l’une des chaises avant de prendre des mesures. Tout près de lui, un autre petit garçon attendait visiblement la même chose. Alors il chercha dans sa poche, et y trouva des bonbons. Il en prit un, puis tendit l’autre au garçon. Ce fut le début du chaos. Le moins que l’on puisse dire c’est que Madame Guipire allait être soulagé et heureuse de voir les deux petits monstres s’en aller. Car après ce moment-ci, les deux semblaient avoir établis une sorte de contrat psychique pour la rendre totalement folle : courir dans le magasin, faire tomber les robes, se cacher dans les allées, faire des grimaces aux passants depuis la fenêtre. Robin Fraser & Myron Wagtail, acte one.

Premier septembre de l’année mil neuf cent quatre vint onze. Jour de rentrée, jour d’embarquement, direction la gare King Cross. Encore une nouvelle expérience pour le jeune Wagatail. Les étoiles dans les yeux, il entreprit la traversée du mûr pour arriver sur la voie numéro 9 ¾ en compagnie de sa mère et son beau-père. A chaque nouveau pas dans le monde magique, la surprise était totale. Un émerveillement incroyable de découvrir cette ambiance magique autour de lui. Des centaines d’élèves goupillaient sur les quais, faisaient leur dernier au revoir à leur famille, avant de retrouver leurs connaissances et leurs amis. L’excitation et le stress s’entremêlait dans le cœur du petit garçon. Mais l’heure du départ avait sonné. Il ne restait plus que quelques minutes avant le départ du train pour l’école de sorcellerie. Myron prit sa maman dans ses bras. Les larmes aux yeux, elle conservait son sourire naturel. Pour l’un comme l’autre la séparation se trouvait être difficile. Jamais par le passé, il n’avait encore été séparé de sa famille.

Le voyage dans le train fut intense. Du haut de ses onze ans, tout semblait bruyant et chaos autour de lui. Alors qu’il cherchait un wagon dans lequel s’installer, il retrouva ce petit garçon avec qui il avait fait des bêtises dans le fameux magasin de vêtement sur le chemin de traverse. Ce fut donc en sa compagnie, et en celle de deux autres personnes que Myron profita de son voyage jusqu’à l’école. Il y eut beaucoup de rire, beaucoup de blagues, et beaucoup de chocolats ingurgités. Il ne le savait pas encore, mais ces trois personnes dans ce wagon allaient se révéler être sa famille pour ces prochaines années. Le trajet fut de courte durée, du moins dans l’esprit du sorcier. Il avait tellement rigolé qu’il n’avait clairement pas vu le temps passé. Accueil à la gare par un homme géant, un petit tour dans des barques, l’émerveillement de découvrir un château incroyable, l’accueil de la sous-directrice, l’entrée dans la grande salle, et l’attente de voir son nom appelé pour la répartition.
Il vit défiler enfant après enfant, par ordre alphabétique, lui laissant tout le loisir de stresser et de voir une petite boule apparaitre dans son ventre. Il ne comprenait pas encore réellement le principe des maisons. Gryffondor, Serdaigle, Serpentard & Poufsouffle. Où était la différence ? Pourquoi étaient-ils séparés au lieu d’évoluer tous ensemble ? Comment le choixpeau magique décidait-il de leur appartenance ? Tant de questions qu’il aurait aimées posé à quelqu’un avant d’affronter cette épreuve. Son nom fut appelé en avant-dernier. Le garçon s’avança vers Minerva McGonagall, s’assit sur le tabouret et le choixpeau fut posé sur sa tête. Cela ne dura que quelques secondes. Apparemment pour le choixpeau, il n’y avait pas la moindre hésitation, sa place était chez les Gryffondor. Un tonnerre d’applaudissement, des cris, des rires, et le petit Wagtail rejoint très vite la table de sa nouvelle maison.

Quand Myron avait imaginé sa première année à l’école de sorcellerie, après l’annonce de sa condition de sorcier, le bonheur, l’aventure et le frisson résidaient dans sa tête. Il s’imaginait un monde parfait, mieux que le monde moldu. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il fut déçu. Quelques semaines après son arrivée à l’école, un groupe de garçon de la maison serpentard s’était frotté à lui. Ils lui avaient posé des questions sur son statut de sang. Quand le jeune garçon révéla être né-moldu, il vit le regard changer. Un regard de dégoût. Incompréhension. L’instant d’après, il se retrouvait sur le sol, poussé violemment par l’un des garçons. Avoir deux parents moldus n’était pas quelque chose dont il devait être fier. Pas ici. Pas devant ces garçons. Apparemment, c’était une honte de la société. Seul les sorciers de sang-pur méritaient d’être ici selon certains. Pourquoi était donc si important ? Ils étaient tous sorciers après tout, non ? Pourquoi certains devaient-il être supérieurs à cause de leur parenté et arbre généalogique ? Non le jeune garçon ne comprenait pas cela. Et pourtant durant cette première année, il allait subir attaques et humiliations sur des origines qu’il ne contrôlait pas. Cela aurait une influence sur son caractère par la suite. Mais pendant cette première partie de l’année, il en fut beaucoup affecté. Jamais auparavant il n’avait eu honte de sa famille. Elle avait toujours été sa fierté. Entre sa maman qui lui avait donné un amour inconditionnel, qui avait toujours eu la force de le soutenir, et son beau-père qui l’avait accepté comme un fils, qui l’avait bordé chaque soir, qui s’était tué à la tâche pendant des années pour qu’il ne manque de rien, et ses frères et sœurs qui lui avaient apportés tellement de joie et de bons moments. En un instant, à cause du regard de certaines personnes, il avait tout remis en question … Mais ce fut sans compter le soutien de son groupe d’amis chez les Gryffondor. Joséphine et Robin furent d’une grande aide. Sans leur soutien, tout aurait été tellement plus compliqué. Mais ils avaient été présent pour lui, l’avait soutenu, et lui avait fait comprendre que le sang n’avait pas la moindre espèce d’importance. Le garçon allait continuer de subir de nombreuses brimades au cours de sa première année, notamment de la part des Serpentard, mais il avait ses amis, sa famille, et avec eux, tout semblait plus facile. Il allait leur montrer à tous qu’ils avaient tort et que peu importe le fait qu’il soit moldus, il pouvait être un très bon sorcier lui aussi.

Les prochaines années scolaires. Bon élève et travailleur, Myron allait pourtant vite être connu comme l’une des petites terreurs de l’école. Pas qu’il était méchant en soit, mais il ne ratait jamais une occasion de faire des bêtises. S’attirer des ennuies était quelque chose d’innée chez lui au plus grand damne de la directrice des rouges et ors : Minerva McGongall. Il faisait perdre pas mal de points à sa maison. Et si parfois il en gagnait en cours, cela ne compensait tout de même pas. Gagner la coupe aurait été cool, mais Myron ne pouvait clairement pas s’arrêter. Il avait toujours été une grosse boule d’énergie et désormais Poudlard était son terrain de jeu. Des bêtises, il en avait des centaines, comme des histoires toutes aussi incroyables. Comme la fois où ils avaient piégé l’entrée de la salle commune des Serpentard. Si un élève marchait au mauvais endroit, il se retrouvait immédiatement couvert de boue. Ca n’avait pas beaucoup fait rire les verts et argents, mais pour lui, cela avait réellement été hilarant. Ou encore cette fois où il avait parié avec Joséphine qu’il pouvait sauter dans le lac noir tout habillé en plein milieu du mois de janvier. Rusard, par le plus grand des hasards, se promenait par là à ce moment là. Il avait pris tellement cher et avait dû nettoyer des trophées pendant des heures. Ou encore cette fois où il avait fait collé une bombabouse sur les fesses de ce gros balourd de serpentard en plein milieu de la Grande Salle. Pas très malin, il s’était vite fait choppé, mais le garçon avait gardé de fameux surnom de Stinky depuis. Et lui avait gagné le droit de nettoyer la grande salle pendant un mois après chaque diner. Tout vient avec un prix. Mais dans l’esprit du garçon, il préfère foncer et s’amuser, et réfléchir après aux conséquences.

Du côté des cours, Myron travaillait beaucoup. Il ne pouvait pas être considéré comme un intello, pour autant, il était un bon élève (enfin dans les matières qu’il aimait bien. Sorry histoire de la magie). Il y avait tout de même une classe qui se démarquait des autres : celle de potions. Il adorait ce qu’il apprenait dans ce cours. Etudier des potions, en fabriquer, en inventer, wow il y avait tellement de possibilité. Et puis il était incroyablement bon. Seul petit bémol. Le professeur : Severus Rogue. Une véritable plaie cet homme. Jamais, ils n’avaient pu se supporter, ni l’un ni l’autre. Myron ne lui inspiré que mépris, et Rogue brillait par son incapacité à reconnaître son talent, et à le traiter de manière totalement injuste.

En dehors des cours, ce fut réellement à Poudlard que Myron se découvrit une passion : la musique. Il avait toujours réellement apprécié entendre la voix de sa maman lui chantonnait des chansons avant d’aller se coucher. Et aujourd’hui, sans elle, à ses côtés, c’est lui qui avait commencé à pousser la chansonnette. Premièrement, ses cordes vocales restèrent un secret. Une passion secrète qu’il garda un moment pour lui, avant de se faire griller par l’un de ses compagnons d’aventure. Il avait une belle voix lui avait-on dit. Alors il avait continué encore et encore, plus souvent. C’était sa façon à lui de se canaliser. Quand il chantait, le monde autour de lui n’existait plus. Il était plus calme, plus apaisé. L’été avant sa troisième année à l’école de sorcellerie, sa maman l’avait envoyé dans un camp de chant pendant trois semaines. L’un des meilleurs souvenirs de sa vie. Que du chant pendant des semaines, et cela l’avait rudement aidé à s’améliorer sur sa technique. Il avait même commencé à composer quelques musiques. Cette passion allait le suivre pendant des années après cela, et prendre petit à petit une place de plus en plus importante.

Lyra, une serpentard, un amour, un démon. Cette relation, cette fille, ces sentiments, ce tourbillon d’émotions contradictoire. Il faut dire que les choses n’avaient jamais été simples entre le fougueux gyffondor et la caractérielle serpentard. Certaines personnes disent que les choses arrivent pour une raison, ils appellent ça le destin. Myron n’était pas sûr de croire en tout cela, mais ce qui se passait entre lui et Lyra pouvait le pousser à se poser des questions. Ils n’auraient jamais dû se retrouver dans les bras l’un de l’autre. Après tout, lui était un rouge et or né moldu, alors qu’elle venait d’une grande lignée de sang-pur. Leurs maisons étaient ennemies. Elles faisaient parti du camp de ceux qui l’avaient humilié pendant sa première année, et qui aujourd’hui encore ne manquaient pas une occasion de le descendre plus bas que terre. Non définitivement, les chances étaient contre eux, dans tous les domaines. Et pourtant. Il la rencontra réellement en troisième année. Avant cela, il avait entendu son nom dans les couloirs, l’avait aperçu dans la grande salle, mais ne lui avait jamais adressé la parole. Ce jour-là, il s’était rendu à Pré-au-Lard, aux trois balais. Son but était de retrouver ses amis et d’en profiter pour se retrouver autour d’un chocolat chaud histoire de préparer leur prochain coup contre les serpentard. Ce jour-là, Lyra se trouvait dans le bar et en avait profité pour donner un petit show aux clients du bar. En effet, elle chantait pour le plaisir des oreilles de son audience. Myron n’avait pas résisté à la tentation. Il l’avait rejoint, s’était imposé, et le solo de la jeune femme s’était transformé en duo. Un moment incroyable. Chanter lui avait toujours fait quelque chose, mais ce jour-là, il s’était réellement senti vivant. Après leur petit duo, la demoiselle l’avait suivi à sa table. Et la magie du moment avait disparu lorsque les deux avaient commencés à ouvrir la bouche. Jamais d’accord, toujours à se contredire, une relation était né. Ils se piquaient, ils se taquinaient, ils se criaient dessus, ils se chamaillaient, ils s’appréciaient. Myron ne pouvait même pas expliquer lui-même ce qui se passait entre eux. Impossible de mettre un mot là-dessus, une chose était sûre, il y avait des étincelles.

Cette relation en dent de scie platonique avait continué encore pendant une année. Les chamailleries continuaient. Et même si les deux se prenaient la tête plus souvent qu’il ne le faudrait, quelque chose les faisait toujours revenir l’un vers l’autre. Quelque chose d’inexplicable. N’importe qui de sain d’esprit n’aurait pas continué sur cette voie, mais pas Myron. Peu importe s’il voulait arrêter tout, il ne pouvait pas. Un après-midi, pendant sa quatrième année, il s’était retrouvé avec elle dans le parc, près du lac noir. Encore une dispute, encore des éclats de voix, des mots plus hauts que les autres. Pour être honnête, Myron ne se souvenait même plus pourquoi ils s’étaient disputés ce jour-là, encore pour quelque chose de stupide surement. Et tous ces cris s’étaient finis en un baiser. Un baiser doux et passionnel à la fois, un baiser qui représentait bien leur relation contradictoire. C’était leur premier baiser. Le premier d’une longue série.

Et puis les années avaient continué à défiler. Et leur histoire avait continué. Parfois ils étaient ensembles, parfois ils ne l’étaient plus. Il n’y avait rien de facile entre eux. Ils avaient tous les deux un grand caractère, ils étaient tous les deux têtus et bornés. Forcément, cela n’aidait pas. Plus personne n’étaient surpris de les voir en train de se hurler dessus dans un couloir, et de s’embrasser l’instant d’après. D’ailleurs les rumeurs et les paris sur leur couple allaient bon train à l’école. Cette histoire n’avait pas fini d’agrémenter les rumeurs.

En ce début de sixième année, Myron revient à l’école de sorcellerie avec de très bonnes résolutions : pas d’examens cette année, alors les bêtises vont devoir être les plus nombreuses et originales possible. Encore une année à passer, avec son lot d’histoires, de cours, d’amour, et de haine …

To be continued …

Je suis tellement contente de te valider à nouveau avec ce charmant visage. J'ai adoré lire cette fiche et je ne pouvais que sortir Lyra pour l'occasion. Je te kidnappe donc pour ton premier RP histoire de bien marquer mon territoire et puis on va pouvoir mettre un peu d'ambiance à ce bal

Bienvenue à toi sur Alarte Ascendere.

Félicitations, tu as terminé l’étape la plus contraignante de ta vie sur le forum, la fiche de présentation. Il ne te reste plus qu’à aller découvrir Poudlard et le monde sorcier. Si ce n’est pas déjà fait, je t’invite à aller lire le règlement, le contexte et les annexes pour profiter sans encombres de ton expérience de jeu. Si tu es élève, n'oublie pas de te recenser sous le sablier qui correspond à ta maison.

Place maintenant aux divers formulaires que tu devras remplir et poster à la suite de ce message afin que nous puissions mettre à jour les registres.

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[u]Avatar[/u]
[code]<wiz>Avatar </wiz> ¤ pseudo[/code]

[u]DC[/u]
[code]<wiz>Compte Masculin</wiz> ¤ <biz>Compte féminin</biz> etc… [/code]

[u]Année : XXXème année[/u]
[code]<biz>pseudo</biz> <wiz>( Poste éventuel : préfet - quidditch )</wiz>[/code]

[u]Pour les adultes - Métier[/u]
[code]Métier : pseudo[/code]

[u]Pour les sangs purs[/u]
[code]Gen01 : Prénom Nom & Prénom Nom née Nom

Gen02 : Prénom Nom & Prénom Nom née Nom
Gen03 : Prénom Nom (Votre année de naissance)
Générations à adapter selon le besoin[/code]

[u]Patronus[/u]
[code]<biz>Patronus</biz> : pseudo[/code]

[u]Baguette[/u]
[code]Pseudo : Bois, taille, coeur[/code]